Quelques explications et quelques documents peu
courants que vous trouverez sur ce Blog =
En France, malgré les exactions et la Terreur, les
Républicains ont créé dès 1792 les archives municipales, départementales et
nationales pour préserver leur patrimoine et les registres paroissiaux ont été
nationalisés. J’ai donc trouvé en mairie, aux archives puis sur Internet, de
nombreux documents à analyser. Une grande partie des archives religieuses a été
photographiée par les Mormons avant 1990 et les microfilms ont été offerts aux
mairies et aux archives départementales. Les associations de généalogie m’ont
aussi beaucoup aidée car elles en ont fait des relevés.
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Un petit conseil : mettez
l’affichage en mode « Grandes Icones » ce sera plus agréable que de
voir des lignes de fichiers.
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Claude et moi avons 50%
de notre ascendance en France métropolitaine – Haute Provence pour Claude et
Limousin pour moi.
Nous avons aussi une
ascendance à 50% espagnole. Des espagnols, qui attirés par les français, sont
venus en Algérie chercher une vie meilleure. J’ai analysé leur présence entre 1830 et 1962. Il est aussi possible
que certains membres de leurs familles aient déjà vécu à Oran entre 1502 et
1792 – période où la ville était espagnole.
Beaucoup de choses sur
les NAL car c’est sur cette
famille que j’ai le plus travaillé et surtout que j’ai obtenu le plus de
documents (mais ils ne sont pas encore tous saisis). Dans ces dossiers je
n’ai pas analysé les générations récentes, j’attends votre aide !
Vous pouvez faire Ctrl + clic sur les liens (quand j’ai eu
le temps de les créer !)
-
NAL – 32 – Joseph
NAL (1827-1905)
: C’est le dernier ancêtre a avoir vécu au Laujon.
une délibération du Conseil Municipal de
Simiane du 25/2/1882 (Joseph est Conseiller Municipal) évoque le nombre
d’élèves par classe …
je vous le laisse
découvrir … et la demande, seulement, d’un adjoint pour assister
l’instituteur…..
Pour le même, la signature en 1896 (comme
dans toutes les mairies d’un accord Franco-Russe - affiché dans la mairie de
Simiane)
-
NAL – 64 – Joseph
NAL (1795-1866) : montre une famille dans la Révolution – acte de
baptême clandestin par un prêtre réfractaire (Chroniques de Simiane)
-
NAL – 128 – Joseph NAL a été difficile à
débusquer. Il est en réalité Jean Joseph Gabriel NAL et il est en plus allé se
marier à Sault dans le Vaucluse … à tout de même 18 km !
-
NAL – 256 – Sébastien Barnabé dit Bernabel
NAL – c’est lui qui a acheté le Laujon vers 1771. Cette ferme est restée
dans la famille jusqu’en 1906 au moins (en 1905 au décès de Joseph, c’est son
fils ainé, Joseph Adolphe, qui en a hérité – il y est en 1906 sur le
recensement – un peu marginal, surnommé Victorin, il était hongreur (castreur
de moutons) et il a rapidement vendu la propriété. (acte d’achat de 1771 à
transcrire)
-
NAL – 512 – Sébastien
NAL – a subi un long procès pour une roue de charrette cassée récupérée par
son fils et sa femme au coin d’un champ (on ne jetait rien !) … alors
qu’il travaillait en hiver à Marseille comme de nombreux « gavots ».
(procès en 1725 à transcrire)
-
NAL – 1024 – Vincent NAL x en 1686 avec Anne
LAUGIER de Banon. Ses deux frères Jean et Denis avaient épousé deux soeurs
LAUGIER en 1682 et les contrats de mariage montrent que la petite sœur Anne
faisait aussi partie du contrat ! ( contrats à transcrire !)
-
NAL – 2048 – Pierre NAL – pezadou –
responsable des pesées au marché de Simiane. Il voulait aussi démolir les
remparts pour construire sa maison (Chroniques de Simiane).
-
NAL –
4096 - Guillaume
NAL – puis
8192 – Anthoine
NAL – des textes où ils sont cités
-
L’épouse de ce Guillaume NAL est Louise
PONSSON (4097)
En fouinant sur Généanet, je viens de
trouver son ascendance (2/2020)
o
Son père : Louis PONSON – j’avais
trouvé son acte de décès à Simiane. Un passionné vient de verser sur Généanet
ses relevés des contrats de mariage de Pertuis (84). Louis, marchand, est allé
se marier de l’autre côté du Lubéron, à Pertuis, au bord de la Durance, avec Auphante
CHAQUET (ou CHAGNET) en 1566
o
Et ce relevé donne ses parents Anthoine
PONSON x Honorade ELLION (LYONNE) – déjà sur nos tablettes- d’où
sont issus de nombreux notaires de Simiane
Anthoine PONSSON est aussi l’ancêtre direct
de l’écrivain
PONSON
DU TERRAIL – célèbre feuilletonniste dont le personnage le plus
connu est Rocambole (qui a donné l’adjectif Rocambolesque)
… et un cousin célèbre de plus !
Guillaume NAL et Louise PONSSON ont 2
enfants (connus)
-
Pierre (2048 – au-dessus)
-
Jeanne
(Sosa 9159) x Jacques REY – -vous descendez aussi de la seconde
Vous la trouverez dans la 3
ème
branche des NAL, par commodité, mais c’est une
ancêtre de Victoria GALLICIAN
(mère de Camille NAL – dont les parents étaient donc
de lointains cousins !))
-
NAL –
16344 – Guillaume
NAL et – 16824 – Martin NAL – 2 fils de Claude dont vous descendez
-
NAL – 32768 (et 33648) – Claude
NAL, né vers 1480 – notre plus ancien NAL connu
o 1923-Kléber NAL – mécanicien du Dixmude, et son
frère Daurian – tous deux nés à Ongles (04) – lointains cousins
o 1945-Daurian
NAL - mort pour la France – en déportation à Sandbostel (Allemagne)
Et dans les branches alliées :
-
71- Rosalie BARRUOL, la grand-mère de Victoria GALLICIAN, a une
prestigieuse ascendance sur le plateau d’Albion avec les notaires de Revest du
Bion, attestés pendant plusieurs générations. Les premiers BARRUOL sont
« descendus » des Hautes Alpes (Val des Prés). J’ai pour l’instant
juste créé les dossiers mais pas encore basculé les documents. C’est un travail
manuel de longue haleine ! Mes informaticiens se penchent sur le problème
mais toute aide serait la bienvenue !
-
1087-1088-Honoré CARBONEL et
Marguerite FERRAND – toute une vie passée à Gignac (84) ce joli village en
contrebas de la route Apt-Simiane. Je me suis intéressée à ce couple un peu par
hasard à la suite d’une alerte Généanet m’apportant des précisions- avec des
dates j’ai recherché facilement des actes. Des gens « importants »
les signent, ce qui est rare vers 1700 et pour la 1ère fois des
AUPHAN qui m’ont fait penser à l’ancêtre Marguerite AUPHANTE dont on ne sait
rien. Ce sont des ascendants d’Emilie Angeline BLANC (grand-mère de Camille) née
aussi à Gignac.
-
16510-EYROUX
Guillaume- maître chirurgien de Simiane en 1570 – quelques documents
sur ce métier dans son dossier.
-
138976-FERRI Benoît et les DE FERRES-verriers
de Simiane et de Goult-anoblis par le Roi René. Issus de la famille des consuls
de Draguignan.
69488-Galiot de FERRES, (verrier de
Goult, Valsaintes et Bonnieux), né à Goult (84) vers 1450, a épousé
Marguerite
de LANGON, née à Lioux (84)– où le cousin Pascal COQUEL a installé ses
chambres d’hôtes (au lieu-dit « sur le château »)
Le père
Didier DE LANGON est
chevalier, longue ascendance noble à étudier
On y trouve en
Sosa 277956-
Jean
II DE LANGON - mais Word me
refuse parfois l’utilisation du lien … trop long malgré les coupes sévères – si
vous voulez y aller :
1-0-Partie commune/2-Fiches
Ascendants/A-Famille NAL/1-Branche
Principale/33-BLANC+/67-BLANC+/135-HUGON+/271-AUMAGI+/1085-GUENDE+/2171-EYROUX+/4343-DE
FERRES+/69489-LANGON+
… si vous êtes
assez tenaces … vous y trouverez sa fiche !
-
138984-Les TAULIER Arnaud, Jérôme, Pierre
– notaires d’Apt
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Pour les MAS peu de documents anciens
(mais ils vont arriver), beaucoup de données récentes apportées par des correspondants
– à exploiter et à approfondir – la région d’Alicante s’éveille et les
destructions de 1936 ne semblent pas avoir concerné le Nord-Ouest de la région
(Le Vinalopo).
La mise en ligne de
« La Enciclopedia de Apellidos de Novelda” m’a déjà apporté beaucoup de données
et elle est loin d’avoir été exploitée suffisamment. Je vous l’ai mise à
disposition -(Ctrl + clic gauche de la souris) ou Novelda (Espagne-Alicante)
dans le dossier Quelques Lieux de Famille
Une association (Raices Reino de Valencia) a
signé un partenariat UNESCO – Evêché d’Orihuela-Alicante. Les documents anciens
sont photographiés, indexés par des bénévoles et on peut les commander au
Diocèse pour 5 euros … ce qui est une Révolution en Espagne !
http://archivodoa.es/
Les archives religieuses restantes sont
bien-privé de l’église.
L’Etat Civil ne commence qu’en 1871.
-
MAS – 9 Antoinette
MAS (1903-1987) – en vignette sur sa fiche, vous trouverez
« Le Cahier de cuisine de Mamie Tona » qu’elle nous faisait remplir
soigneusement. Je l’avais saisi,
complété et illustré pour vous l’offrir, il y a quelques années, je l’ai
amélioré.
Les Crêpes de Papy NAL (Camille NAL) sont
un vrai régal
-
MAS – 18 – Pedro
Salvador MAS (1879-1957) – grand père de Claude – né au village
espagnol de Sidi bel Abbés - vous pourrez remarquer dans tous les documents le
concernant, que je vous transmets, qu’il est dit « fils de Pedro MAS et
d’Antonia DAVO ». Impossible de débloquer cette branche pendant des
années. Il y avait bien quelques pistes
…..
Allez donc voir !
-
MAS – 39 – Antonia QUESADA (1849-1910)-
c’est probablement la 1ère née de la famille à Oran en 1849. La sépulture du
Cimetière Tamazoueth a été construite pour elle (et d’autres membres de la
famille décédés avant elle y ont été amenés). Je n’ai pas trouvé le mariage de
ses parents ni de trace de leur arrivée à Oran avant 1849.
-
MAS-76 et 77- Juan VERDU et son épouse Ana
Maria BOLINCHES sont les premiers de la famille VERDU à s’expatrier vers
Oran. Ils ont quitté « el Alto Vinalopo » natal après 1849
En 1852 Juan VERDU déclare à Oran la
naissance de son petit-fils Narcadio
-
MAS-79 – Antonia CERDAN vous ouvre un
cousinage avéré avec
Marcel CERDAN le « Bombardier Marocain »
… au Sosa
2536 Vicente PUJALTE ! signalé par Généanet le 20
septembre 2019
-
MAS – 4924 – sur la fiche de
Juan
OCHOA
SEVILLA (1597), un bel arbre généalogique (je serais ravie que quelqu’un
arrive à le lire). Il fait remonter votre généalogie espagnole dans la ville de
Guernica en Biscaye (Pays Basque). Un descendant a produit un dossier de
«
pureza de sangre » (aucun sang arabe, juif ou gitan) depuis
Pedro OCHOA de AULESTIA – cette famille a été anoblie «
por
viscaina » comme de nombreux basques venus combattre les arabes
dans la région entre Valence et Alicante entre le XIIIème et le XVème siècles.
Ils faisaient partie de l’élite de la ville
de Monovar
arbol genealogico de pureza de
sangre desde Pedro OCHOA de AULESTIA en la villa de Guernicaiz del Señorio de
Viscaya en el año 1550 a Bernardo OCHOA en la villa de Sax-1750
-
MAS - 19844 - Francisco Pedro
BERENGUER – Don Pedro « el Generoso » – né vers 1560 à Alicante –
Chevalier (Caballero) – Il est dit “Hidalgo” (comme son père) - Docteur (Médico).
« Obtuvo
en Alicante a su favor privilegio de milicia el 7 de marzo de 1604 y en 7 de
mayo de 1604 » (Il obtint en sa faveur le privilège d’une milice à
Alicante les 7 mars 1604 et 7 mai 1604).
https://percevales.blogspot.com/search/label/Berenguer
-
MAS
- 40576 et 81168 – Don Juan PUJALTE “es hidalgo” . En 1603 son petit fils Miguel (aussi
votre ancêtre) fait confirmer sa noblesse – voir un bel arbre
-
Parmi les ascendants des MAS de nombreux
« Reconquistadores » venus de Catalogne ou d’Aragon, dans l’objectif
de récupérer le territoire colonisé et de « bouter » les arabes hors
d’Espagne, dont les AMAT-AMATE, anoblis pour avoir libéré Elda et Elche
-
Leurs
descendants AMATE auront la même démarche en Andalousie dès 1490 et on les
retrouve dans l’ascendance CIRERA
La recherche sur mes
CIRERA a mis des années à
décoller. Dans la Province d’Almeria, l’action des Républicains en 1936 a été
quasi générale. Ils ont brûlé les églises avec tout ce qu’elles contenaient (y
compris les prêtres et les religieuses) et ont souvent anéanti leur histoire. Le
Diocèse d’Almeria possède quelquefois des doubles mais l’archiviste refuse que
les Mormons « baptisent » les ancêtres et il bloque tous les
projets de numérisation.
En 2014, je ne possédais que de rares
documents sur mes grands-parents. Çà a changé grâce au travail et à la
stimulation de la cousine Claudette qui s’est passionnée pour cette recherche à
Ragól, puis Huécija, Alicún et Félix. Actuellement nous cherchons à raccrocher
à l’arbre Juzepe CIRERA né vers 1585,
où ?
Quelques documents
-
20-CIRERA
DE MOTA José Antonio- né en 1870 à Ragól, au bord du Rio Andarax-venu à
Oran vers 1884. Vous pourrez voir des actes, des photos mais aussi son dossier
complet de naturalisation qu’une amie avait eu la gentillesse de me
photographier à Fontainebleau.
J’y ai ajouté un article écrit il y a de
nombreuses années pour le site de mon amie Monique (sur Aïn Franin)
-
40-CIRERA ALCARAZ Francisco de Paula - son
père, né à Ragol, décédé à Oran – sur plusieurs générations ses ascendants sont
à Ragol.
-
640-CIRERA DE AMATE Manuel a quitté son Huécija
natal pour se marier à Ragól ( à 12 km quand même !)
-
1260-1261-CIRERA
PEREZ José, (père du précédent) né à Felix, est venu se marier à
Huécija
avec Maria DE AMATE TORTOSA – Ce très beau village de Felix, dans la Sierra de Gador, est
bien à 20 km de Huécija, mais sur le « Callejero » que nous avait offert la mairie il existe une « Hoya CIRERA » à la limite
de la commune de Huécija, une petite vallée où les nôtres ont probablement vécu
-
5120-votre probable ancêtre, Juzepe
CIRERA vivait à Alicún, mais où était-il né ?
-
d’autres CIRERA
- A Cuevas del Almanzora : 2 frères Francisco et
Vicente CIRERA, venus d’Onteniente
(Valencia) ont
participé au repeuplement de la région – peut être liés aux nôtres ?
CIRERA, marié à Isabel Ana de TORRES vit à
Caudete (Albacete), ses deux fils Phelipe
et Francisco y naissent en 1676 et 1682 (les
notres sont déjà depuis presque 100 ans
entre Felix et Huécija)
- Dans la communauté
Valenciana, particulièrement dans la province d’Alicante
- En Catalogne
Espagnole et Française, depuis très longtemps avec les SaCIRERA (Le
Sa étant un
préfixe d’honorabilité)
-
d’autres patronymes liés aux CIRERA
La « Reconquète » de l’Espagne
sur les arabes (qui l’avaient colonisée au VIIème siècle) a fait appel à des
populations venues des régions du Nord de la péninsule Ibérique. Elle a duré
des années 700 à 1492 (chute de Granada)
Ces « Reconquistadores »
venaient de Catalogne, du Pays Basque ou d’Aragon, dans l’objectif de récupérer
ce territoire colonisé et de « bouter » les arabes hors d’Espagne.
-
Parmi eux les AMAT-AMATE – qui semblent
originaires de Tarragona – ils ont été anoblis pour avoir libéré Elda et Elche
(province d’Alicante) – dans l’ascendance MAS
-
Leurs descendants AMATE auront la même
démarche en Andalousie (dernière province libérée) dès 1490. Bartolomé de AMATE
recevra la « Espueda Dorada » pour son action à Granada et à Santa
Fé. Ses petits enfants s’installeront à Huécija et on les retrouve dans
l’ascendance CIRERA avec les frères Amador et Auzias AMATE, nés à
Bocairente (Alicante) qui ont fait partie des « Repobladores » de
Huécija (Almeria) après l’expulsion des arabes vers 1575.
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La recherche de l’ascendance SALAZAR et
MARTIN (parents de ma grand-mère paternelle) à Dalías n’est pas facile. Là
l’église et les archives religieuses ont été totalement détruites. Il faut se
tourner vers le Diocèse de Granada qui a permis aux Mormons d’indexer les
registres de pré-mariages religieux mais qui ne dispense les documents qu’à
titre … très onéreux ! Il existe aussi des Minutes Notariales mais à
consulter sur place à Granada ou à Almería. Ce sera pour une seconde vie !
Pour l’instant, je participe à des indexations « ouvertes » de tout
ce que les généalogistes d’Andalousie peuvent se procurer.
Quelques documents
-336-Antonio SALAZAR MORENO teste en 1817 (fils du suivant)
-672-Juan
Pedro de SALAZAR – mon père évoquait un ancêtre qui avait fait partie
de la bandera (la Légion espagnole), un sabre lui appartenant serait dans la
famille. Voilà probablement ce soldat ! Il était « Soldado de la
bandera de la Armada de España ». Son périple est décrit dans l’Expediente
Matrimonial de son second mariage.
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Cette partie est la moins développée par
manque de temps. J’ai pourtant engrangé de très nombreux documents. Donc encore
du travail à faire !
La recherche sur l’ascendance de Mamie
Paulette vers
les VILLIERES et les NADAUD a débuté tôt, en parallèle
avec celle des NAL. Dès 1985-86, les mairies de Magnac sur Touvre (Charente) et
de Tulle (Corrèze) ont répondu à mes demandes, souvent sans photocopieur, et en
rajoutant des renseignements ou en me donnant l’adresse d’autres chercheurs dont
Viviane VAN DEN BERG, cousine de Mamie Paulette que nous avons ainsi retrouvée
pour de fructueux échanges.
-22- Les VILLIERES ont longuement
vécu à Tulle (Corrèze) et aux environs, jusqu’à mon grand-père
Franck
VILLIERES né en 1890.
-parmi les documents :
- Probablement
la 1ère photo de notre collection : vers 1894, il est
photographié avec son chien par un photographe professionnel à Tulle
- la photocopie
d’un
de ses carnets – handicapé, il a passé la guerre 39-45 à
« recevoir » des allemands qui venaient chercher de la bière à la
Brasserie Alsacienne d’Angoulême. Il a tenu ses petits carnets en collant ou en
relevant des articles sur les exactions allemandes.
- en 1940, une famille
du Nord, qui s’y était déjà réfugiée en 1914-18, a été accueillie à la
Brasserie- (photo avec la famille VILLIERES)
Les VILLIERES sont peu nombreux, tous issus
du même hameau « VILIERAS », de St Méxant. Je les soupçonne d’être
originaires de l’Aveyron, proche, où le patronyme est plus répandu.
En passant par les CONSTANT
o
Vous découvrirez l’ascendance LEVAT-LEVAST.
Elle nous ramène de Tulle à Angoulême, à La Couronne … dans une belle famille
de papetiers
o
L’ascendance PAUPHILLE est aussi prestigieuse. Michel
PAUPHILLE est le créateur, à Tulle, vers 1690, de la Manufacture d’Armes.
La Manufacture, royalisée, il en a été ensuite directeur. Suit une longue
lignée d’arquebusiers et d’armuriers, jusqu’à Joseph CONSTANT, arrière-grand-père
paternel de Mamie Paulette.
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- Les NADAUD sont infiniment plus nombreux.
Les nôtres, ceux de ma grand-mère
Marie
Charlotte NADAUD, ont leur origine dans le petit village de Champagnac
la Rivière, au Sud-Ouest de la Haute Vienne. Les NADAUD ont des liens avec des
familles de tous les villages alentours
-46-
Jean
NADAUD (1860-1950) – grand-père maternel de Mamie Paulette
Marié à Catherine GIRY
et bien d’autres à découvrir !
Ce DVD n’est qu’une ébauche faite
spécialement pour vous. Beaucoup d’ancêtres ne sont pas analysés encore dans
ces documents.
Le travail de transmission ne fait que
commencer !
J’espère arriver à vous le remettre à jour
régulièrement pendant encore longtemps !