samedi 18 avril 2020

2-2-Quelques explications et quelques documents peu courants que vous trouverez sur ce blog


Quelques explications et quelques documents peu courants que vous trouverez sur ce Blog =

En France, malgré les exactions et la Terreur, les Républicains ont créé dès 1792 les archives municipales, départementales et nationales pour préserver leur patrimoine et les registres paroissiaux ont été nationalisés. J’ai donc trouvé en mairie, aux archives puis sur Internet, de nombreux documents à analyser. Une grande partie des archives religieuses a été photographiée par les Mormons avant 1990 et les microfilms ont été offerts aux mairies et aux archives départementales. Les associations de généalogie m’ont aussi beaucoup aidée car elles en ont fait des relevés.

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Un petit conseil : mettez l’affichage en mode « Grandes Icones » ce sera plus agréable que de voir des lignes de fichiers.

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Claude et moi avons 50% de notre ascendance en France métropolitaine – Haute Provence pour Claude et Limousin pour moi.

Nous avons aussi une ascendance à 50% espagnole. Des espagnols, qui attirés par les français, sont venus en Algérie chercher une vie meilleure. J’ai analysé leur présence entre 1830 et 1962. Il est aussi possible que certains membres de leurs familles aient déjà vécu à Oran entre 1502 et 1792 – période où la ville était espagnole.


Beaucoup de choses sur les NAL car c’est sur cette famille que j’ai le plus travaillé et surtout que j’ai obtenu le plus de documents (mais ils ne sont pas encore tous saisis). Dans ces dossiers je n’ai pas analysé les générations récentes, j’attends votre aide !

Vous pouvez faire Ctrl + clic sur les liens (quand j’ai eu le temps de les créer !)

-        NAL – 32 – Joseph NAL (1827-1905) : C’est le dernier ancêtre a avoir vécu au Laujon.

une délibération du Conseil Municipal de Simiane du 25/2/1882 (Joseph est Conseiller Municipal) évoque le nombre d’élèves par classe …  je vous le laisse découvrir … et la demande, seulement, d’un adjoint pour assister l’instituteur…..

Pour le même, la signature en 1896 (comme dans toutes les mairies d’un accord Franco-Russe - affiché dans la mairie de Simiane)

-        NAL – 64 – Joseph NAL (1795-1866) : montre une famille dans la Révolution – acte de baptême clandestin par un prêtre réfractaire (Chroniques de Simiane)

-        NAL – 128 – Joseph NAL a été difficile à débusquer. Il est en réalité Jean Joseph Gabriel NAL et il est en plus allé se marier à Sault dans le Vaucluse … à tout de même 18 km !

-        NAL – 256 – Sébastien Barnabé dit Bernabel NAL – c’est lui qui a acheté le Laujon vers 1771. Cette ferme est restée dans la famille jusqu’en 1906 au moins (en 1905 au décès de Joseph, c’est son fils ainé, Joseph Adolphe, qui en a hérité – il y est en 1906 sur le recensement – un peu marginal, surnommé Victorin, il était hongreur (castreur de moutons) et il a rapidement vendu la propriété. (acte d’achat de 1771 à transcrire)

-        NAL – 512 – Sébastien NAL – a subi un long procès pour une roue de charrette cassée récupérée par son fils et sa femme au coin d’un champ (on ne jetait rien !) … alors qu’il travaillait en hiver à Marseille comme de nombreux « gavots ». (procès en 1725 à transcrire)

-        NAL – 1024 – Vincent NAL x en 1686 avec Anne LAUGIER de Banon. Ses deux frères Jean et Denis avaient épousé deux soeurs LAUGIER en 1682 et les contrats de mariage montrent que la petite sœur Anne faisait aussi partie du contrat ! ( contrats à transcrire !)

-        NAL – 2048 – Pierre NAL – pezadou – responsable des pesées au marché de Simiane. Il voulait aussi démolir les remparts pour construire sa maison (Chroniques de Simiane).

-        NAL 4096 - Guillaume NAL – puis 8192 – Anthoine NAL – des textes où ils sont cités

-        L’épouse de ce Guillaume NAL est Louise PONSSON (4097)

En fouinant sur Généanet, je viens de trouver son ascendance (2/2020)

o   Son père : Louis PONSON – j’avais trouvé son acte de décès à Simiane. Un passionné vient de verser sur Généanet ses relevés des contrats de mariage de Pertuis (84). Louis, marchand, est allé se marier de l’autre côté du Lubéron, à Pertuis, au bord de la Durance, avec Auphante CHAQUET (ou CHAGNET) en 1566

o   Et ce relevé donne ses parents Anthoine PONSON x Honorade ELLION (LYONNE) – déjà sur nos tablettes- d’où sont issus de nombreux notaires de Simiane

Anthoine PONSSON est aussi l’ancêtre direct de l’écrivain PONSON DU TERRAIL – célèbre feuilletonniste dont le personnage le plus connu est Rocambole (qui a donné l’adjectif Rocambolesque)  … et un cousin célèbre de plus !



Guillaume NAL et Louise PONSSON ont 2 enfants (connus)

               - Pierre (2048 – au-dessus)

               - Jeanne (Sosa 9159) x Jacques REY – -vous descendez aussi de la seconde

                Vous la trouverez dans la 3ème branche des NAL, par commodité, mais c’est une

                ancêtre de Victoria GALLICIAN (mère de Camille NAL – dont les parents étaient donc

                de lointains cousins !))

-        NAL 16344 – Guillaume NAL et – 16824 – Martin NAL – 2 fils de Claude dont vous descendez

-        NAL – 32768 (et 33648) – Claude NAL, né vers 1480 – notre plus ancien NAL connu


o   1923-Kléber NAL – mécanicien du Dixmude, et son frère Daurian – tous deux nés à Ongles (04) – lointains cousins

o   1945-Daurian NAL - mort pour la France – en déportation à Sandbostel (Allemagne)



Et dans les branches alliées :

-        71- Rosalie BARRUOL, la grand-mère de Victoria GALLICIAN, a une prestigieuse ascendance sur le plateau d’Albion avec les notaires de Revest du Bion, attestés pendant plusieurs générations. Les premiers BARRUOL sont « descendus » des Hautes Alpes (Val des Prés). J’ai pour l’instant juste créé les dossiers mais pas encore basculé les documents. C’est un travail manuel de longue haleine ! Mes informaticiens se penchent sur le problème mais toute aide serait la bienvenue !

-        1087-1088-Honoré CARBONEL et Marguerite FERRAND – toute une vie passée à Gignac (84) ce joli village en contrebas de la route Apt-Simiane. Je me suis intéressée à ce couple un peu par hasard à la suite d’une alerte Généanet m’apportant des précisions- avec des dates j’ai recherché facilement des actes. Des gens « importants » les signent, ce qui est rare vers 1700 et pour la 1ère fois des AUPHAN qui m’ont fait penser à l’ancêtre Marguerite AUPHANTE dont on ne sait rien. Ce sont des ascendants d’Emilie Angeline BLANC (grand-mère de Camille) née aussi à Gignac.

-        16510-EYROUX Guillaume- maître chirurgien de Simiane en 1570 – quelques documents sur ce métier dans son dossier.

-        138976-FERRI Benoît et les DE FERRES-verriers de Simiane et de Goult-anoblis par le Roi René. Issus de la famille des consuls de Draguignan.

69488-Galiot de FERRES, (verrier de Goult, Valsaintes et Bonnieux), né à Goult (84) vers 1450, a épousé Marguerite de LANGON, née à Lioux (84)– où le cousin Pascal COQUEL a installé ses chambres d’hôtes (au lieu-dit « sur le château »)

Le père Didier DE LANGON est chevalier, longue ascendance noble à étudier

On y trouve en Sosa 277956-Jean II DE LANGON  - mais Word me refuse parfois l’utilisation du lien … trop long malgré les coupes sévères – si vous voulez y aller :

1-0-Partie commune/2-Fiches Ascendants/A-Famille NAL/1-Branche Principale/33-BLANC+/67-BLANC+/135-HUGON+/271-AUMAGI+/1085-GUENDE+/2171-EYROUX+/4343-DE FERRES+/69489-LANGON+  … si vous êtes assez tenaces … vous y trouverez sa fiche !

-        138984-Les TAULIER Arnaud, Jérôme, Pierre – notaires d’Apt





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Pour les MAS peu de documents anciens (mais ils vont arriver), beaucoup de données récentes apportées par des correspondants – à exploiter et à approfondir – la région d’Alicante s’éveille et les destructions de 1936 ne semblent pas avoir concerné le Nord-Ouest de la région (Le Vinalopo).

La mise en ligne de « La Enciclopedia de Apellidos de Noveldam’a déjà apporté beaucoup de données et elle est loin d’avoir été exploitée suffisamment. Je vous l’ai mise à disposition -(Ctrl + clic gauche de la souris) ou Novelda (Espagne-Alicante) dans le dossier Quelques Lieux de Famille

Une association (Raices Reino de Valencia) a signé un partenariat UNESCO – Evêché d’Orihuela-Alicante. Les documents anciens sont photographiés, indexés par des bénévoles et on peut les commander au Diocèse pour 5 euros … ce qui est une Révolution en Espagne !

http://archivodoa.es/

Les archives religieuses restantes sont bien-privé de l’église.

L’Etat Civil ne commence qu’en 1871.

-        MAS – 9 Antoinette MAS (1903-1987) – en vignette sur sa fiche, vous trouverez « Le Cahier de cuisine de Mamie Tona » qu’elle nous faisait remplir soigneusement. Je l’avais saisi,  complété et illustré pour vous l’offrir, il y a quelques années, je l’ai amélioré.

Les Crêpes de Papy NAL (Camille NAL) sont un vrai régal

-        MAS – 18 – Pedro Salvador MAS (1879-1957) – grand père de Claude – né au village espagnol de Sidi bel Abbés - vous pourrez remarquer dans tous les documents le concernant, que je vous transmets, qu’il est dit « fils de Pedro MAS et d’Antonia DAVO ». Impossible de débloquer cette branche pendant des années. Il y avait bien quelques pistes  …..

Allez donc voir !

-        MAS – 39 – Antonia QUESADA (1849-1910)- c’est probablement la 1ère née de la famille à Oran en 1849. La sépulture du Cimetière Tamazoueth a été construite pour elle (et d’autres membres de la famille décédés avant elle y ont été amenés). Je n’ai pas trouvé le mariage de ses parents ni de trace de leur arrivée à Oran avant 1849.

-        MAS-76 et 77- Juan VERDU et son épouse Ana Maria BOLINCHES sont les premiers de la famille VERDU à s’expatrier vers Oran. Ils ont quitté « el Alto Vinalopo » natal après 1849

En 1852 Juan VERDU déclare à Oran la naissance de son petit-fils Narcadio

-        MAS-79 – Antonia CERDAN vous ouvre un cousinage avéré avec Marcel CERDAN le « Bombardier Marocain » … au Sosa 2536 Vicente PUJALTE ! signalé par Généanet le 20 septembre 2019

-        MAS – 4924 – sur la fiche de Juan OCHOA SEVILLA (1597), un bel arbre généalogique (je serais ravie que quelqu’un arrive à le lire). Il fait remonter votre généalogie espagnole dans la ville de Guernica en Biscaye (Pays Basque). Un descendant a produit un dossier de « pureza de sangre » (aucun sang arabe, juif ou gitan) depuis Pedro OCHOA de AULESTIA – cette famille a été anoblie « por  viscaina » comme de nombreux basques venus combattre les arabes dans la région entre Valence et Alicante entre le XIIIème et le XVème siècles.

Ils faisaient partie de l’élite de la ville de Monovar


arbol genealogico de pureza de sangre desde Pedro OCHOA de AULESTIA en la villa de Guernicaiz del Señorio de Viscaya en el año 1550 a Bernardo OCHOA en la villa de Sax-1750



-        MAS - 19844 - Francisco Pedro BERENGUER – Don Pedro « el Generoso » – né vers 1560 à Alicante – Chevalier (Caballero) – Il est dit “Hidalgo” (comme son père) - Docteur (Médico). « Obtuvo en Alicante a su favor privilegio de milicia el 7 de marzo de 1604 y en 7 de mayo de 1604 » (Il obtint en sa faveur le privilège d’une milice à Alicante les 7 mars 1604 et 7 mai 1604). https://percevales.blogspot.com/search/label/Berenguer



-        MAS - 40576 et 81168 – Don Juan PUJALTE “es hidalgo” . En 1603 son petit fils Miguel (aussi votre ancêtre) fait confirmer sa noblesse – voir un bel arbre







-        Parmi les ascendants des MAS de nombreux « Reconquistadores » venus de Catalogne ou d’Aragon, dans l’objectif de récupérer le territoire colonisé et de « bouter » les arabes hors d’Espagne, dont les AMAT-AMATE, anoblis pour avoir libéré Elda et Elche



-        Leurs descendants AMATE auront la même démarche en Andalousie dès 1490 et on les retrouve dans l’ascendance CIRERA








La recherche sur mes CIRERA a mis des années à décoller. Dans la Province d’Almeria, l’action des Républicains en 1936 a été quasi générale. Ils ont brûlé les églises avec tout ce qu’elles contenaient (y compris les prêtres et les religieuses) et ont souvent anéanti leur histoire. Le Diocèse d’Almeria possède quelquefois des doubles mais l’archiviste refuse que les Mormons « baptisent » les ancêtres et il bloque tous les projets de numérisation.

En 2014, je ne possédais que de rares documents sur mes grands-parents. Çà a changé grâce au travail et à la stimulation de la cousine Claudette qui s’est passionnée pour cette recherche à Ragól, puis Huécija, Alicún et Félix. Actuellement nous cherchons à raccrocher à l’arbre Juzepe CIRERA né vers 1585,  où ?

Quelques documents

-        10-CIRERA François, mon père, que certains d’entre vous ont connu

-        20-CIRERA DE MOTA José Antonio- né en 1870 à Ragól, au bord du Rio Andarax-venu à Oran vers 1884. Vous pourrez voir des actes, des photos mais aussi son dossier complet de naturalisation qu’une amie avait eu la gentillesse de me photographier à Fontainebleau.

J’y ai ajouté un article écrit il y a de nombreuses années pour le site de mon amie Monique (sur Aïn Franin)

-        40-CIRERA ALCARAZ Francisco de Paula - son père, né à Ragol, décédé à Oran – sur plusieurs générations ses ascendants sont à Ragol.

-        640-CIRERA DE AMATE Manuel a quitté son Huécija natal pour se marier à Ragól ( à 12 km quand même !)

-        1260-1261-CIRERA PEREZ José, (père du précédent) né à Felix, est venu se marier à Huécija avec Maria DE AMATE TORTOSA – Ce très beau village de Felix, dans la Sierra de Gador, est bien à 20 km de Huécija, mais sur le « Callejero » que nous avait offert la mairie il existe une « Hoya CIRERA » à la limite de la commune de Huécija, une petite vallée où les nôtres ont probablement vécu

-        Un joli site sur Huécija https://andaluciarustica.com/huecija.htm et en naviguant, sur les autres villages d’Andalousie.

-        5120-votre probable ancêtre, Juzepe CIRERA vivait à Alicún, mais où était-il né ?

-        d’autres CIRERA

- A Cuevas del Almanzora : 2 frères Francisco et Vicente CIRERA, venus d’Onteniente

(Valencia) ont participé au repeuplement de la région – peut être liés aux nôtres ?


CIRERA, marié à Isabel Ana de TORRES vit à Caudete (Albacete), ses deux fils Phelipe

et Francisco y naissent en 1676 et 1682 (les notres sont déjà depuis presque 100 ans

entre Felix et Huécija)

- Dans la communauté Valenciana, particulièrement dans la province d’Alicante

- En Catalogne Espagnole et Française, depuis très longtemps avec les SaCIRERA (Le

Sa étant un préfixe d’honorabilité)


-        d’autres patronymes liés aux CIRERA

La « Reconquète » de l’Espagne sur les arabes (qui l’avaient colonisée au VIIème siècle) a fait appel à des populations venues des régions du Nord de la péninsule Ibérique. Elle a duré des années 700 à 1492 (chute de Granada)

Ces « Reconquistadores » venaient de Catalogne, du Pays Basque ou d’Aragon, dans l’objectif de récupérer ce territoire colonisé et de « bouter » les arabes hors d’Espagne.

-        Parmi eux les AMAT-AMATE – qui semblent originaires de Tarragona – ils ont été anoblis pour avoir libéré Elda et Elche (province d’Alicante) – dans l’ascendance MAS

-        Leurs descendants AMATE auront la même démarche en Andalousie (dernière province libérée) dès 1490. Bartolomé de AMATE recevra la « Espueda Dorada » pour son action à Granada et à Santa Fé. Ses petits enfants s’installeront à Huécija et on les retrouve dans l’ascendance CIRERA avec les frères Amador et Auzias AMATE, nés à Bocairente (Alicante) qui ont fait partie des « Repobladores » de Huécija (Almeria) après l’expulsion des arabes vers 1575.





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La recherche de l’ascendance SALAZAR et MARTIN (parents de ma grand-mère paternelle) à Dalías n’est pas facile. Là l’église et les archives religieuses ont été totalement détruites. Il faut se tourner vers le Diocèse de Granada qui a permis aux Mormons d’indexer les registres de pré-mariages religieux mais qui ne dispense les documents qu’à titre … très onéreux ! Il existe aussi des Minutes Notariales mais à consulter sur place à Granada ou à Almería. Ce sera pour une seconde vie ! Pour l’instant, je participe à des indexations « ouvertes » de tout ce que les généalogistes d’Andalousie peuvent se procurer.

Quelques documents

-336-Antonio SALAZAR MORENO teste en 1817 (fils du suivant)

-672-Juan Pedro de SALAZAR – mon père évoquait un ancêtre qui avait fait partie de la bandera (la Légion espagnole), un sabre lui appartenant serait dans la famille. Voilà probablement ce soldat ! Il était « Soldado de la bandera de la Armada de España ». Son périple est décrit dans l’Expediente Matrimonial de son second mariage.


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Cette partie est la moins développée par manque de temps. J’ai pourtant engrangé de très nombreux documents. Donc encore du travail à faire !



La recherche sur l’ascendance de Mamie Paulette vers les VILLIERES et les NADAUD a débuté tôt, en parallèle avec celle des NAL. Dès 1985-86, les mairies de Magnac sur Touvre (Charente) et de Tulle (Corrèze) ont répondu à mes demandes, souvent sans photocopieur, et en rajoutant des renseignements ou en me donnant l’adresse d’autres chercheurs dont Viviane VAN DEN BERG, cousine de Mamie Paulette que nous avons ainsi retrouvée pour de fructueux échanges.

-22- Les VILLIERES ont longuement vécu à Tulle (Corrèze) et aux environs, jusqu’à mon grand-père Franck VILLIERES né en 1890.

-parmi les documents :

- Probablement la 1ère photo de notre collection : vers 1894, il est photographié avec son chien par un photographe professionnel à Tulle

- la photocopie d’un de ses carnets – handicapé, il a passé la guerre 39-45 à « recevoir » des allemands qui venaient chercher de la bière à la Brasserie Alsacienne d’Angoulême. Il a tenu ses petits carnets en collant ou en relevant des articles sur les exactions allemandes.

- en 1940, une famille du Nord, qui s’y était déjà réfugiée en 1914-18, a été accueillie à la Brasserie- (photo avec la famille VILLIERES)

Les VILLIERES sont peu nombreux, tous issus du même hameau « VILIERAS », de St Méxant. Je les soupçonne d’être originaires de l’Aveyron, proche, où le patronyme est plus répandu.

En passant par les CONSTANT

o   Vous découvrirez l’ascendance LEVAT-LEVAST. Elle nous ramène de Tulle à Angoulême, à La Couronne … dans une belle famille de papetiers

o   L’ascendance PAUPHILLE est aussi prestigieuse. Michel PAUPHILLE est le créateur, à Tulle, vers 1690, de la Manufacture d’Armes. La Manufacture, royalisée, il en a été ensuite directeur. Suit une longue lignée d’arquebusiers et d’armuriers, jusqu’à Joseph CONSTANT, arrière-grand-père paternel de Mamie Paulette.



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- Les NADAUD sont infiniment plus nombreux.

Les nôtres, ceux de ma grand-mère Marie Charlotte NADAUD, ont leur origine dans le petit village de Champagnac la Rivière, au Sud-Ouest de la Haute Vienne. Les NADAUD ont des liens avec des familles de tous les villages alentours



-46-Jean NADAUD (1860-1950) – grand-père maternel de Mamie Paulette

Marié à Catherine GIRY



et bien d’autres à découvrir !



Ce DVD n’est qu’une ébauche faite spécialement pour vous. Beaucoup d’ancêtres ne sont pas analysés encore dans ces documents.

Le travail de transmission ne fait que commencer !

J’espère arriver à vous le remettre à jour régulièrement pendant encore longtemps !

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2-3-Encore quelques liens

Encore quelques liens -         Algérie Française -         Les Archives d’Outre Mer à Aix en Provence (pour l’Algérie) http://anom.a...